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Libre place à l'imagination et au plaisir de l'écriture

 

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La vérité des parents,               sort de la bouche des enfants. La vérité du monde,                sort de la bouche des braves gens !                                                &n... Lire la suite

  Vient et assis toi, Inconnu qui meuble le temps, De ta silhouette de roi, Déchu, par un amour blanc, Qui s'est enfuit, comme ça.   N'essayons pas de comprendre, Les raisons qui poussent à la fuite, Nous donnons sans attendre, Parce qu'on est con et ensuite, Ensuite, il y a les méandres.   Vient et assis toi, Buvons l'amnésie du vent, Nous serons ivres de quoi ? Mais du temps pardi, du temps ! Élixir des gens comme toi et moi.... Lire la suite

C’est une histoire pas si vieille, Mais l’temps commence à l’effacer, Tant qu’elle est encore vermeille, Dans mon cœur, j’veux vous la chanter.   Elle est joyeuse comme la lune, Elle a des reflets d’arc-en-ciel, Cette chanson de l’infortune, Qui naquit d’un souffle essentiel.   Je crois bien que je t’ai aimé, Le temps d’une promenade, Le temps d’un verre au café, Où mes doigts devinrent malades.   Je crois bien que je t’ai aimé, Peut-&... Lire la suite

Conscient   Conscient de me lever, Avec la peur au ventre, De me retrouvé coincé, Le soir quand je rentre, Dans une noirceur trop aimé.   Conscient de n’être parfois, Que l’ombre de moi-même, De me réfugier sous le toit, Protecteur de mes problèmes.   Conscient de me trahir, D’assassiner mon bout de cœur, Quand je jure de toujours rire, Alors que chaque jour je pleure, De ne savoir  réagir.   Conscient de ma mélancolie, De ma dépenda... Lire la suite

Chaque homme est un arbre   Je n’aurais jamais imaginé qu’une simple bâtisse, sans rien de bien particulier, puisse laisser un vide aussi béant. Quatre murs, semblables à tant d’autre. Un toit un peu vieux, quelques fenêtres tournées vers le monde, une maison somme toute sans différence. Un jardin comme l’on en trouve des milliers, une balançoire rouillée, un pré d’herbe sauvage. Un garage pour ranger la voiture, un portail fermé pour éviter que le chien ne s’... Lire la suite

Tu vis en moi à chaque instant, Tu es la source de mes chants, Tu joues aux creux de mes entrailles, Tu es mon unique médaille.   Bien, qu’on ne se voit jamais, Tu adoucis mes regrets, Par ta présence solidaire, Dans ma vie de solitaire.   Les autres ne te savent pas, Ils n’imaginent rien de cela, L’improbable réalité, Quand je parle en ta fierté.   Dans la tempête de mes songes, Aux crocs vénéneux qui me ronge, Tu interviens et sans frayeur, Tu me ramènes ... Lire la suite

Hommage sentimental   Je ne suis pas très doué, Pour retranscrire mes hommages, Mais pour te remercier, Je vais noircir cette page,   Avec mes mots les plus fous, Avec mes mots les plus tendres, Tant, je suis sous le charme, De ta tendresse immortelle.   Depuis, ce très beau jour où, Ta voix grave se fit entendre, Mon cœur versa des larmes, D’admiration éternelle.   Sur cette plage sous juillet, Où l’amour se fit menteur, Coïncidence des regrets, Ta Fanette troubl... Lire la suite

  Dans les brouillards ancestraux, De mes espoirs en sanglots, Je m’avance en équilibre, Sur le fil qui me rend libre.   Je vacille dans le silence, De mes songes sans espérance, Assis au bord d’une falaise, Je fixe le vide qui m’apaise.   Epuisé par tant d’erreurs, Je ressens monter l’aigreur, Dans ma gorge, le goût amer, D’une étoile morte sans colère.   Dans les brouillards lumineux, D’un rendez-vous déjà vieux, Je décompose mes miro... Lire la suite

Evaporation psychique   Je m’évapore dans les méandres, D’un horizon bleu presque noir. Là-bas, je rêve reflet miroir, D’un espoir au goût de cendre.   Je m’évapore, perle de sueur, Dans mes hyperactivités. J’mélange force et timidité, Jusqu’à tomber, mais sans aigreur.   Je m’évapore psychiquement, Je laisse se déverser mon corps, Sur le bitume de mes efforts, Sans remords, sans ménagement.   Peut-ê... Lire la suite

Renaissance sentimentale   Ma belle n’est point honte, Tes sentiments sont nobles, Je sais que le sang monte, Telle la rose au vignoble,   Quand l’amour s’enflamme.   Ma belle, tes silences, Disent bien plus de mots, Que ceux que tu dispenses, M’annoncer avec sanglots,   Quand l’amour rend femme.   Je ressens la torture, Qui te ronge le ventre, Elle crie tes blessures, Le soir quand tu rentres,   Quand l’amour t’affame.   Je connais le vacarme, D’un cœu... Lire la suite